La tendance de demain se confirme

Le flex office, c’est quoi ?

Les premières enquêtes qui nous parviennent à la suite de la pandémie sont unanimes : non, le bureau n’est pas mort, mais oui, les aspirations dans l’organisation du travail évoluent et nécessitent une adaptation.
Dans une enquête menée par le Génie des lieux en ce début d’année 2021*, 77% des entreprises ont pour objectif de faire revenir leurs salariés au bureau. Et même si on constate des divergences d’opinion quant à l’organisation des espaces, les dirigeants des entreprises sont conscients que les grandes tendances seront au télétravail (à 64%), et à la diminution des surfaces (57%).
Dans une seconde enquête**, on apprend que seulement une bonne moitié des répondants veulent retourner au bureau, et parmi eux, 47 % estiment qu’être en distanciel entre 1 et 2 jours permettrait de conjuguer performance et qualité de vie.

Ces chiffres illustrent les nouvelles tendances qui se dessinent. Aujourd’hui, les salariés aspirent à plus de flexibilité quant à leur lieu de travail et les employeurs voient leurs surfaces de bureau se vider. Le phénomène s’est amplifié à cause de la pandémie mondiale à laquelle nous faisons face actuellement.

Dans notre article du mois d’avril 2021, Nejmeddine insistait sur la solution de demain : le flex office.
Le flex office est un terme qui définit une organisation des espaces en termes d’utilisation et d’objectif, non plus en termes d’espaces attribués. Il s’agit d’optimiser la surface de travail en l’organisant autour de l’usage des différents espaces, en créant des ambiances propices à la collaboration, à la réunion, à la concentration, à la détente. Espaces qui seront occupés par différentes personnes à différents moments de la journée / de la semaine.

Quels sont les avantages et les risques d’une telle répartition des espaces ?

Clairement, le premier avantage pour les dirigeants d’entreprise est d’optimiser voire de réduire leur surface de bureaux. En créant des espaces partagés et flexibles, on augmente ainsi le taux d’occupation des locaux, et cela permet de réduire la surface et la facture associée à la gestion des locaux.

Par ailleurs, les différents espaces s’adaptent aux besoins de chacun : certains viennent au bureau pour rechercher la tranquillité et la concentration que nous n’avons pas à la maison ou en tiers lieux, d’autres pour au contraire, échanger et collaborer avec ses collègues. La flexibilité prend ici tout son sens : chaque espace à son usage.
L’agencement devient alors le pivot de toute l’organisation : les ambiances sont alors essentielles pour que le salarié y soit comme “chez soi”, et sa performance augmentée.
Les espaces partagés facilitent les rencontres et les échanges entre collègues de différents services, favorisant ainsi la circulation des informations et la collaboration. La routine y est exclue !

Attention toutefois à bien estimer le taux d’occupation, pour que chacun puisse y trouver sa place. Si le côté “non-attribué” peut froisser certaines sensibilités et favoriser le sentiment de non-appartenance, la mise en place d’une organisation flexible nécessite un peu de pédagogie et l’implication de tous les employés.
Le choix du flex office a aussi des conséquences sur le management des équipes, mais aussi sur les besoins en équipement du personnel.

Comment Initium peut vous y accompagner ?

Grâce à sa vision globale et son expertise métier, Initium est au fait des tendances de demain, et a déjà réalisé plusieurs espaces de travail flexibles.
Notre méthode de travail collaborative nous permet de déterminer vos enjeux d’aménagements propres et de vous proposer un concept sur mesure, à votre image.

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*enquête réalisée auprès de 3 908 professionnels répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 18 au 21 janvier 2021. Profils des personnes interrogées : 41 % d’employés, 38 % de managers et 21 % de dirigeants.

** enquête réalisée auprès de 2 005 personnes salariées et réparties sur l’ensemble du territoire français. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 26 février au 24 mars 2021. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.